rue Demers
Date de création
11 mars 1963
Données du Répertoire
Jean-Louis Demers (1732-1813), dernier supérieur des Récollets de 1789 à sa mort, survenue à Montréal.
Anciennement
ruelle Demers,
avenue Corbeil.
Source : “Les rues de Montréal”- Répertoire historique – Méridien, édit. 1995.
11 mars 1963
Données du Répertoire
Jean-Louis Demers (1732-1813), dernier supérieur des Récollets de 1789 à sa mort, survenue à Montréal.
Anciennement
ruelle Demers,
avenue Corbeil.
Source : “Les rues de Montréal”- Répertoire historique – Méridien, édit. 1995.
Description sommaire de la voie
Cette petite rue héritière d’une ruelle, est à sens unique de direction Est-Ouest
– avec un petit tronçon-ruelle non circulant (en cul-de-sac) de la rue de Hôtel de Ville à la rue Henri-Julien ,
– puis de la rue Henri-Julien à la rue de Bullion.
– avec un petit tronçon-ruelle non circulant (en cul-de-sac) de la rue de Hôtel de Ville à la rue Henri-Julien ,
– puis de la rue Henri-Julien à la rue de Bullion.
Notes complémentaires
– Qui étaient les frères récollets?
Les récollets, branche réformée de la famille franciscaine, arrivent en Nouvelle-France en 1615. Missionnaires et prédicateurs, ils sont reconnus pour la simplicité et l’austérité de leur vie.
En 1763, les autorités britanniques leur interdisent toutefois d’admettre des novices; l’ordre disparaît donc en 1848 avec la mort du dernier récollet canadien à Montréal.
Pendant qu’il est curé à Saint-Jean-Deschaillons de 1767 à 1789, le père Jean-Louis Demers, s’occupe de faire construire la première église (de Gentilly), en pierre des champs, en 1781 par le maître-maçon Antoine Maillou, de Deschambault, et le maître tailleur Charly. L’église sera ouverte au culte en septembre 1784.
Et pour en savoir plus, cliquez sur ce lien
Source : Répertoire du patrimoine culturel du Québec
En 1763, les autorités britanniques leur interdisent toutefois d’admettre des novices; l’ordre disparaît donc en 1848 avec la mort du dernier récollet canadien à Montréal.
Pendant qu’il est curé à Saint-Jean-Deschaillons de 1767 à 1789, le père Jean-Louis Demers, s’occupe de faire construire la première église (de Gentilly), en pierre des champs, en 1781 par le maître-maçon Antoine Maillou, de Deschambault, et le maître tailleur Charly. L’église sera ouverte au culte en septembre 1784.
Et pour en savoir plus, cliquez sur ce lien
Source : Répertoire du patrimoine culturel du Québec
– Les fleurs c’est pour Rosemeont
En 1969 un film documentaire a été réalisé par 5 étudiants en architecture pour mettre en valeur la rénovation de la rue entreprise par les habitants.
Et pour en savoir plus, cliquez sur ce lien
Source : Office national du film du Canada
Comment les peintres voient la rue Demers
“Le paradis de la ruelle verte” présente la rue Demers (anciennement appelée ruelle). Ce Nihonga de grande taille 20 x 24 a été réalisé par l’artiste-peintre Miyuki Tanobe, originaire du Japon et québécoise d’adoption qui peint à l’aide de techniques orientales anciennes des scènes du Québec traditionnel.
Galerie Valentin
Galerie Valentin
Le “Marché Raphaêl et frères en 2004 ” situé à l’angle des rues De Bullion et Demers. Cette oeuvre a été réalisée par l’artiste-peintre Suzanne Bourque, née sur le Plateau, rue Saint-André. Ses tableaux représentent des paysages urbains, des natures mortes et des scènes de la Gaspésie.
Dernière mise à jour : 2022-12-26
Commentaire
rue Demers — Aucun commentaire
HTML tags allowed in your comment: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>