rue Pontiac
Date de création
3 mai 1897
Données du Répertoire
Pontiac (1720-1769), chef Outaouais, fidèle ami des Français, célèbre par son courage et l’emprise qu’il exerce sur les autres nations indiennes.
Anciennement
rue Saint-Etienne,
rue des Carrières,
Source : “Les rues de Montréal”- Répertoire historique – Méridien, édit. 1995.
3 mai 1897
Données du Répertoire
Pontiac (1720-1769), chef Outaouais, fidèle ami des Français, célèbre par son courage et l’emprise qu’il exerce sur les autres nations indiennes.
Anciennement
rue Saint-Etienne,
rue des Carrières,
Source : “Les rues de Montréal”- Répertoire historique – Méridien, édit. 1995.
Description sommaire de la voie
La rue Pontiac est l’une des rares rues qui ne traverse pas l’avenue du Mont-Royal.Elle démarre depuis l’avenue du Mont-Royal jusqu’au
Notes complémentaires
– Pontiac ou Obwandiyag ou encore Obwondiac
Notes complémentaires
– Pontiac ou Obwandiyag ou encore Obwondiac
Chef de la tribu des amérindiens Outaouais chef Odawa vainqueur des anglais. Au 4767 de la rue, une plaque historique a été apposée pour marquer le lieu où Obwandiyag fit une halte.
Recherches Diane St-Julien (2011)
Recherches Diane St-Julien (2011)
– Saviez-vous que l’Hôpital du Sacré-Cœur a lui aussi été fondé sur le Plateau?
En 1898, soit il y a maintenant 110 ans.
Quand, les demoiselles Généreux résolurent, avec l’approbation et la bénédiction de l’archevêque de Montréal, Mgr Bruchési, de vouer leur vie aux soins des Incurables, leurs vertueux parents les secondèrent en leur cédant leur propre logis, situé rue Pontiac.
Et pour en savoir plus, cliquez sur ce lien
Recherches Gabriel Deschambault
– La petite maison aujourd’hui disparue
Cette petite maison à un étage a été démolie en avril 2010.
Et pour en savoir plus
Extrait du bulletin trimestriel de l’été 2010
La rue Pontiac saisie par les peintres montréalais
La rue Pontiac d’aujourd’hui est perpendiculaire à l’avenue du Mont-Royal. Elle se situe en face à l’église du Trés-Saint-Sacrement. Le point de vue magnifique en vaut le détour. Michel Perrin peintre canadien de la neige l’a bien remarqué et exprimé dans une de ses toiles. Ce tableau est une composition de l’artiste: il ne représente pas un endroit précis. L’artiste y est allé selon son point de vue et son humeur des ruelles du Plateau en y ajoutant arbres et bâtisses à son gré. Il était dans son atelier pour le peindre. J’ai rencontré Michel et son épouse lors de l’achat de la toile et je peux te dire que c’est son histoire, telle qu’il me la racontée.
En fait il ne s’agirait pas de la rue Pontiac, mais plutôt de la ruelle entre Berri et Rivard, au nord de Mont-Royal. Le peintre dirige son regard vers le sud et ce que nous voyons, n’est pas la façade de l’église mais plutôt la façade arrière du pensionnat Saint-Basile (c.à.d. la façade arrière de la Maison de la culture), dont nous apercevons le “clocheton”. D’ailleurs, avec son tapis de glace et ses gros bancs de neige, la ruelle en question doit avoir ces jours-ci une allure similaire à celle de la peinture.
Souvent sur le Plateau, on manque de perspective pour voir les églises ou les monuments imposants. Tout cela parce que les promoteurs de l’époque se dépêchaient de construire tout autour. Et voici que la rue Pontiac nous offre ce biais.
Recherches Marielle Signori, Gabriel Deschambault
En fait il ne s’agirait pas de la rue Pontiac, mais plutôt de la ruelle entre Berri et Rivard, au nord de Mont-Royal. Le peintre dirige son regard vers le sud et ce que nous voyons, n’est pas la façade de l’église mais plutôt la façade arrière du pensionnat Saint-Basile (c.à.d. la façade arrière de la Maison de la culture), dont nous apercevons le “clocheton”. D’ailleurs, avec son tapis de glace et ses gros bancs de neige, la ruelle en question doit avoir ces jours-ci une allure similaire à celle de la peinture.
Souvent sur le Plateau, on manque de perspective pour voir les églises ou les monuments imposants. Tout cela parce que les promoteurs de l’époque se dépêchaient de construire tout autour. Et voici que la rue Pontiac nous offre ce biais.
Recherches Marielle Signori, Gabriel Deschambault
Suite aux recherches que j’ai faites d’après le Lovell (qui est ma source) et concernant l’histoire de ma famille et à mes racines du Plateau-Mont-Royal, la rue Pontiac (anciennement rue Saint-Etienne) faisait partie de cette histoire.
La première mention remonte à 1891-1892 avec Onésime Boismenu mon arr arr grand-père qui a vécu au 65 rue Saint-Etienne (Pontiac).
Puis son fils Raoul au 51 rue Saint-Etienne (Pontiac) et par la suite Onésime qui a vécu au 101 rue de Pontiac près de la rue de Bienville de 1894 a 1919 année de son décès.
Gilles Boismenu, arr arr petit-fils d’Onésime et membre de la Société d’Histoire du Plateau depuis sa création